Village des Arts et Métiers d’Octon
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Ariane Fruit du 11 mars au 10 avril 2023

10/2/2023

 
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Derrière le rideau de Z

9/12/2022

 

Exposition des photographies
​d'Elena Chernyshova

9 décembre 2022 au 8 janvier 2023

Vernissage le 9 décembre 2022 à 18h,
​au Village des Arts et Métiers d'Octon - Chemin de Ricazouls. ​ 
 www.elenachernyshova.com
Évènement organisé autour de l'exposition le dimanche 18 décembre à partir de 16h, en partenariat avec l'association SOS Montpellier Ukraine. 
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" Plus de 90% des Russes étaient convaincus qu’il ne pouvait y avoir de guerre contre l’Ukraine. Le 24 février a donc été un choc. Mais le mot « guerre » était interdit, il fallait parler d’une «opération spéciale».
Dans les premières semaines après l’invasion, tous les médias indépendants qui restaient ont été muselés et l’accès aux sources d’information alternatives en ligne a été bloqué. Pendant ce temps, les médias d’État bénéficiaient eux d’une augmentation considérable de leur financement.
Les relations commerciales fondées sur une confiance construite au fil des décennies ont été brisées. Des centaines d’entreprises étrangères ont suspendu leurs activités commerciales ou même quitté le marché russe. De nouvelles sanctions ont été imposées, pénalisant des industries clés, notamment le pétrole et le gaz, qui dépendent des importations de biens et composants de haute technologie.
Le patriarche Kirill Ier de l’Église orthodoxe russe a publiquement exprimé son soutien à la guerre, donnant ainsi la bénédiction de l’Église à l’invasion. Toute personne brandissant une pancarte sur laquelle est écrit «Ne tuez pas» risque d’être arrêtée et emprisonnée. Les prêches anti-guerre dans les églises ne sont pas tolérés.
Depuis 2014, on assiste à une militarisation croissante de la société russe. Des formations militaires de cadets ont été introduites dans les établissements scolaires. La Younarmia, le mouvement national des jeunes cadets de l’armée créé en 2015, compte désormais plus d’un million d’enfants à travers la Russie. Des clubs militaires «patriotiques» œuvrent dans de nombreuses villes.
Dans les régions pauvres, l’armée est le seul ascenseur social, et les engagés volontaires, au lieu de faire le service militaire obligatoire, reçoivent immédiatement un contrat et un salaire. Certains des soldats sous contrat envoyés en Ukraine sont des adolescents ayant reçu une formation de seulement trois mois. Le ministère de la Défense n’a publié qu’à deux reprises un communiqué faisant état des pertes russes, le dernier datant du 25 mars.
La victoire de la Russie lors de la «Grande Guerre patriotique» et la mémoire de ceux qui ont combattu le fascisme ont été glorifiées pour obtenir le soutien de la population aux hostilités en Ukraine, que la propagande justifie comme une «dénazification».
Les lettres Z et V sont utilisées pour marquer l’équipement militaire de l’armée russe en Ukraine, et le Z est devenu un symbole de soutien à l’invasion.
À Moscou, les musées accueillent des expositions comme «Le nazisme ordinaire» (sous-entendu en Ukraine), ou «L’OTAN: une chronique de la cruauté». Dans le même temps, la Cour suprême a confirmé la décision de fermer le Centre des droits de l’homme commémorant les victimes du régime de Staline et de la répression politique.
Depuis le 24 février, des milliers de personnes ont été arrêtées lors de rassemblements contre la guerre. En mars, la Douma a voté une loi criminalisant la diffusion de «fausses informations» visant à discréditer «l’utilisation des forces armées russes», réduisant ainsi au silence toute opposition ou information indépendante, avec une volonté de mettre fin à toute coopération avec des organisations étrangères.
Face à la répression et à la perspective d’une mobilisation générale et de la fermeture totale des frontières, de nombreux Russes ont choisi, à contrecœur, de quitter le pays."
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Elena Chernyshova

Dimanche 13 novembre Exquise balade esquisse avec Placid

7/11/2022

 
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Placid au Village des Arts et Métiers son exposition continue !

21/10/2022

 
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Gouaches d'Octon et d'ailleurs - Exposition de plAcid au Village des Arts et Métiers - Octon 34800 du 15 octobre au 13 novembre.

13/10/2022

 
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Vertige garanti pour celui qui voudrait suivre à rebours le parcours de Placid au cours de près de quatre décennies de production artistique ou se familiariser avec les stupéfiantes métamorphoses de son style. Le blog qu’il alimente régulièrement -https://toutplacid.tumblr. com/ - en est d’autant plus l’illustration que les informations sur la variété de ses collaborations, expositions et publications, etc. de son parcours professionnel restent sibyllines. Et le vertige s’accroit quand l’on prend conscience de ses méthodes de travail qui consistent à privilégier le carnet dans une succession de cycles et défis : 128 à ce jour, chacun réalisé avec une technique et sur un format différents, chacun avec son angle d’attaque stylistique.
Pour reprendre pied, il sera utile de tracer dans la prolifération d’images une oblique jusqu’à 2006 et 2007 - deux livres-pavés pu- bliés d’une année sur l’autre par les Editions L’asso-ciation - singulièrement deux Quo vadis remplis jour après jour d’observations faites par Placid sur son environnement, l’un à la mine de graphite et l’autre second au stylo bille 4 couleurs, qui constituent au-delà de la question artistique, des mines d’informations sociologiques. Depuis ces deux publications, Placid n’aura cessé d’approfondir son travail « sur le motif » en diversifiant les techniques et les approches constructivistes d’un langage artistique, vigoureux et accessible à tout public, au service d’un témoignage sur la couleur du temps. En suivant cette oblique le vertige prend un sens plus précis. Elle nous aide à saisir la valeur instructive de l’entreprise d’observation menée par Placid, surtout quand on la confronte aux univers photographiques et vidéo qui ont colonisé notre imaginaire collectif en nous désapprenant à regarder.
Un des immenses mérites de Placid est de nous entraîner à affuter un double sens de l’observation en appréciant l’intérêt supérieur du dessin sur la peinture tant du point de vue de son accès populaire que de ses capacités de mobilité et de métamorphose, relevées par un style rare, exigeant et subtil.
Daniel Mallerin

Emmanuelle Dufossez expose. Chambre 114

2/9/2022

 
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L'Imaginaire des mots samedi 11 et dimanche 12 juin

3/6/2022

 
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Artpage 2022

23/5/2022

 
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Artpage 2022 : Lancement de la biennale à la bibliothèque d'Octon avec l'exposition Caroline Garcia gravures et monotypes

28/4/2022

 
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Le Centre imaginaire de tout

29/3/2022

 
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